La période dite du « terrible two » est une phase de transition importante dans la vie des tout-petits. Souvent marquée par des crises de colère et une opposition constante, elle survient généralement entre 18 mois et 2 ans. Comment reconnaître les signes du « terrible two » ? Comment calmer bébé et aider l’enfant à traverser cette période sereinement ? Voici quelques conseils pratiques pour les parents.

Comprendre la crise des 2 ans
La crise des 2 ans, également appelée « terrible two », correspond à une période où l’enfant commence à développer son individualité et à tester les limites de son environnement. En quête d’autonomie, l’enfant peut se montrer particulièrement réfractaire aux directives et faire preuve d’opposition, ce qui se traduit souvent par des crises de colère ou de frustration.
Durant cette phase, l’enfant prend conscience de son identité et de sa capacité à influencer son environnement. Il découvre et exprime ses besoins et ses désirs, qui peuvent parfois entrer en conflit avec les règles et attentes des adultes. C’est un moment crucial de son développement où il apprend à gérer ses émotions et à se comporter de manière appropriée en société.
Face à ces comportements, il est essentiel de comprendre que l’enfant ne fait pas preuve de mauvaise volonté, mais exprime ses frustrations et ses besoins d’une manière adaptée à son niveau de développement. Il est donc important pour les parents de faire preuve de patience et de bienveillance, tout en posant des limites claires et cohérentes.
Le « Terrible two » : une étape normale du développement
Le « Terrible two » est une étape normale du développement de l’enfant. Il s’agit d’un phénomène universel où l’enfant, en pleine exploration de son identité et de son autonomie, se confronte parfois violemment à son environnement. Cette étape, bien que difficile à gérer pour les parents, est pourtant essentielle pour le développement psychologique de l’enfant. Durant cette phase, l’enfant apprend à affirmer son individualité, à exprimer ses désirs et à tester les limites. C’est un processus d’apprentissage qui lui permet de comprendre le monde qui l’entoure et de développer ses compétences sociales et émotionnelles. Il est crucial de ne pas percevoir cette étape comme une période de rébellion ou de mauvaise conduite, mais plutôt comme une phase d’apprentissage et de croissance.
Les signes typiques de la crise des 2 ans
Colères et pleurs : expressions d’émotions fortes
Les colères et les pleurs sont des manifestations émotionnelles courantes lors de la crise des 2 ans. L’enfant, en pleine affirmation de son individualité, exprime à travers ces émotions fortes ses frustrations, ses besoins ou encore son désir d’autonomie. Il est important de comprendre que ces réactions ne sont pas des caprices, mais le reflet d’une incompréhension ou d’une incapacité à gérer une situation.
Les pleurs, souvent associés à une tristesse ou une détresse, peuvent aussi être une réponse à une situation de stress ou d’insatisfaction. L’enfant pleure pour exprimer son mécontentement, mais aussi pour attirer l’attention de l’adulte.
De même, les colères, qui se manifestent par des cris, des gestes brusques ou une opposition forte, sont une manière pour l’enfant d’exprimer son désaccord ou son insatisfaction. Ces comportements, bien que déroutants pour les parents, sont une étape normale du développement de l’enfant et ne doivent pas être confondus avec des signes d’agressivité.
Face à ces réactions, il est conseillé d’adopter une attitude calme et compréhensive, tout en maintenant des limites claires et cohérentes. Le renforcement positif, c’est-à-dire valoriser les comportements appropriés de l’enfant, peut également être une stratégie efficace pour gérer ces manifestations émotionnelles.
Opposition et refus : affirmation de l’individualité
L’opposition et le refus sont des comportements typiques de la crise des 2 ans. Ils se manifestent par l’usage fréquent du mot « non », le rejet des règles ou encore la résistance face à l’autorité. C’est une façon pour l’enfant de revendiquer son individualité et d’exprimer son désir d’autonomie.
Néanmoins, il est crucial de distinguer entre une opposition saine et un comportement d’opposition extrême. Dans le premier cas, l’enfant teste ses limites et affirme son indépendance. Dans le second, il pourrait s’agir d’un signe de difficulté émotionnelle ou comportementale nécessitant l’intervention d’un professionnel.
Dans ce contexte, l’attitude des parents est primordiale. Il est recommandé d’adopter une approche basée sur la compréhension, le respect et la cohérence. Il peut être utile de :
- Écouter l’enfant et reconnaître ses sentiments
- Encourager l’expression de ses émotions de manière appropriée
- Favoriser la prise de décision autonome lorsque c’est possible
- Poser des limites claires et conséquentes, en tenant compte de son âge et de son niveau de développement.
Perturbations du sommeil : un symptôme courant
Les perturbations du sommeil sont fréquemment rapportées lors de la crise des 2 ans. Dans cette période de grands changements développementaux, l’enfant peut rencontrer des difficultés à s’endormir ou se réveiller plusieurs fois pendant la nuit.
Ces troubles peuvent être liés à des facteurs variés :
- L’apprentissage : L’acquisition de nouvelles compétences comme la marche ou le langage peut affecter le sommeil de l’enfant.
- L’autonomie : Le désir d’autonomie peut parfois se traduire par un refus d’aller se coucher.
- Les peurs et angoisses nocturnes : L’imaginaire se développe et peut s’accompagner de cauchemars ou de peurs liées à l’obscurité par exemple.
Il est essentiel d’écouter ces signaux et d’adapter le rituel du coucher pour aider l’enfant à retrouver un sommeil apaisé. La mise en place d’une routine stable et rassurante peut être bénéfique pour l’enfant.
Difficultés à gérer les frustrations : une caractéristique du « Terrible two »
La gestion des frustrations est un défi majeur pour les enfants en pleine crise des 2 ans. Durant cette phase, l’enfant commence à ressentir des émotions complexes (comme la frustration) qu’il a du mal à comprendre et à contrôler. Il exprime alors ces émotions à travers des comportements tels que des colères, des pleurs ou des oppositions.
L’enfant de 2 ans est en phase d’apprentissage de ses émotions. Son cerveau n’est pas encore assez mature, sur le plan de la gestion émotionnelle, pour être capable de gérer des frustrations. Cela se traduit souvent par des crises de colère, des pleurs ou des comportements d’opposition.
Ces difficultés à gérer les frustrations peuvent être exacerbées par le désir grandissant d’autonomie de l’enfant. En effet, à cet âge, l’enfant cherche à affirmer son indépendance et son individualité, ce qui peut entraîner des conflits avec ses parents et augmenter son niveau de frustration.

Comment réagir face à la crise des 2 ans?
Gérer ses propres émotions en tant que parent
Comprendre et gérer ses propres émotions est la première étape pour aider son enfant à traverser le « terrible two ». En tant que parent, vous pourriez vous sentir frustré, épuisé ou même dépassé par les réactions de votre enfant. Ces sentiments sont normaux et valides.
Il est essentiel d’apprendre à identifier et à exprimer vos émotions de manière constructive. Vous pouvez par exemple, vous accorder un moment de pause lorsque vous sentez la tension monter.
Rappelez-vous que votre enfant ressent et réagit à vos émotions. En restant calme et patient, vous lui offrez un modèle de gestion émotionnelle saine.
Aussi, n’hésitez pas à demander de l’aide lorsque vous en ressentez le besoin. Que ce soit auprès de votre conjoint, de vos proches ou d’un professionnel de santé, l’important est de ne pas rester seul face à cette situation.
Adopter une communication adaptée à l’enfant de 2 ans
Pour une communication efficace avec un enfant de 2 ans, il est primordial de s’adapter à son niveau de développement. L’expression verbale et l’écoute empathique sont deux outils essentiels.
- L’expression verbale : L’enfant de 2 ans comprend de mieux en mieux le langage, mais a encore du mal à exprimer ses émotions et ses besoins avec des mots. Il est donc utile de lui donner les mots pour exprimer ce qu’il ressent et ce dont il a besoin.
- L’écoute empathique : Il s’agit de prêter une oreille attentive aux émotions et aux besoins de l’enfant, sans jugement ni interruption. Cela peut aider l’enfant à se sentir compris et soutenu.
Autre point crucial : la communication non verbale. L’enfant se base spontanément sur votre expression faciale et sur le ton de votre voix pour comprendre le sens de votre message. Assurez-vous donc que votre communication non verbale soit en accord avec le contenu de votre message.
Favoriser l’autonomie pour diminuer les frustrations
L’autonomie est un concept clé à cette période de la vie de l’enfant. En encourageant cette autonomie, vous pouvez l’aider à mieux gérer ses frustrations. L’idée n’est pas de le laisser faire tout ce qu’il veut, mais de lui permettre d’expérimenter et de faire des choses par lui-même à son rythme et selon ses capacités.
Quelques pistes pour encourager l’autonomie :
- Laissez-le accomplir des tâches simples par lui-même : se laver les mains, mettre ses chaussures, ranger ses jouets…
- Respectez son rythme et sa façon de faire, même si cela prend plus de temps.
- Valorisez ses efforts et ses réussites, même les plus petites. Cela renforce sa confiance en lui et son envie de faire seul.
- Privilégiez une approche progressive : montrez-lui comment faire, faites-le avec lui, puis laissez-le faire seul.
- Laissez-le faire des erreurs et apprendre de celles-ci. C’est en essayant et en échouant que l’on apprend le mieux.
Il est essentiel de trouver le juste milieu entre l’encouragement à l’autonomie et le maintien de limites claires et cohérentes. Cela peut être délicat, mais c’est essentiel pour aider votre enfant à traverser cette phase de la manière la plus sereine possible.
Les stratégies pour apaiser les colères de l’enfant
Pour apaiser les colères de l’enfant, plusieurs stratégies peuvent être mises en place. Il peut être utile de nommer l’émotion que l’enfant ressent. Cette verbalisation aide l’enfant à comprendre ses sentiments et à les gérer plus efficacement.
- Par exemple, vous pouvez dire : « Je vois que tu es en colère parce que tu ne peux pas avoir ce jouet ».
L’encouragement de l’expression verbale est également crucial. Aidez votre enfant à mettre des mots sur ses sentiments et besoins. Cela lui permet d’exprimer sa frustration autrement qu’à travers des crises de colère.
Aussi, le renforcement positif des bons comportements est une stratégie efficace. Soulignez et récompensez les moments où votre enfant gère bien ses émotions ou exprime clairement ses besoins.
- Par exemple, vous pourriez dire : « Je suis vraiment fier de toi pour avoir utilisé tes mots pour me dire que tu étais contrarié ».
Enfin, il peut être utile d’avoir une « trousse à outils » de stratégies à utiliser pour apaiser l’enfant lorsqu’il est submergé par la colère. Cela pourrait inclure des stratégies comme des exercices de respiration profonde, des distractions positives ou des techniques de relaxation.
Le rôle du sommeil dans la crise des 2 ans
L’importance d’une routine de sommeil stable
L’établissement d’une routine de sommeil stable est particulièrement bénéfique lors de la crise des 2 ans. Cette routine offre un cadre sécurisant pour l’enfant qui traverse une période de grands changements.
- L’heure du coucher et du réveil doivent être régulières. Cela aide à régler l’horloge biologique de l’enfant et à favoriser un sommeil de qualité.
- Le rituel du coucher peut inclure des activités apaisantes comme la lecture d’un livre ou l’écoute d’une berceuse. Ces moments de calme préparent l’enfant au sommeil et contribuent à une transition en douceur.
- Il est également recommandé d’éviter les écrans avant le coucher. La lumière bleue émise par ces appareils peut perturber le rythme circadien de l’enfant.
Cette routine doit s’adapter aux besoins évolutifs de l’enfant. Par exemple, l’heure de la sieste peut se décaler à mesure que l’enfant grandit. Il est donc important d’être à l’écoute de son enfant et de réajuster la routine au besoin.
Gérer les réveils nocturnes pendant la crise des 2 ans
Les réveils nocturnes sont courants pendant la crise des 2 ans. Ils peuvent être liés à des rêves, des cauchemars, des peurs nocturnes ou simplement à un besoin de réassurance. Voici quelques conseils pour gérer ces réveils :
- Rassurez votre enfant après un réveil nocturne en lui parlant doucement, sans trop le stimuler. Évitez de rallumer la lumière ou de le sortir de son lit.
- Essayez de comprendre la cause du réveil. Votre enfant a-t-il fait un mauvais rêve ? A-t-il soif ? Un câlin ou un verre d’eau peuvent suffire à le rassurer.
- Encouragez votre enfant à se rendormir seul. Avec le temps, cela l’aidera à gérer ses réveils nocturnes de manière autonome.
- Maintenez un environnement propice au sommeil. Une chambre calme, sombre et à une température adaptée favorise un bon sommeil.
- Si les réveils nocturnes persistent et perturbent le sommeil de toute la famille, n’hésitez pas à consulter un professionnel.
Durée et fin de la crise des 2 ans : à quoi s’attendre?
La variabilité de la durée de la crise des 2 ans
La durée de la crise des 2 ans varie considérablement d’un enfant à l’autre. Pour certains, cette phase transitoire peut ne durer que quelques semaines, tandis que pour d’autres, elle peut persister pendant plusieurs mois, voire jusqu’à l’âge de 4 ans.
La variabilité de la durée de cette période peut être influencée par divers facteurs, tels que le tempérament de l’enfant, son environnement familial et l’interaction parent-enfant. C’est pourquoi il est difficile de prévoir avec précision combien de temps durera cette période pour chaque enfant.
Il est toutefois essentiel de noter que, bien que cette phase puisse être éprouvante pour les parents, elle est une étape normale et nécessaire du développement de l’enfant.
Signes annonciateurs de la fin de la « Terrible two »
Comment savoir si votre enfant est en train de sortir de la phase du « terrible two »? Il existe plusieurs indicateurs qui peuvent vous aider à identifier cette transition.
Premièrement, vous remarquerez probablement une diminution des crises de colère. Si votre enfant commence à gérer ses frustrations de façon plus constructive, cela peut être un signe que cette phase touche à sa fin.
Deuxièmement, l’opposition systématique pourrait commencer à s’atténuer. Si votre enfant commence à exprimer son désaccord de manière plus calme et articulée, cela peut indiquer qu’il est en train de dépasser la crise des 2 ans.
Enfin, un autre signe positif pourrait être une amélioration du sommeil. Si votre enfant commence à dormir plus paisiblement et à avoir moins de réveils nocturnes, cela suggère qu’il est en train de sortir de cette phase.
Il est important de noter que chaque enfant est unique et que la transition peut être plus ou moins rapide selon les individus. Il est donc recommandé de rester patient et de continuer à soutenir votre enfant durant cette période.
La crise des 2 ans et l’entourage
Expliquer la crise des 2 ans à la fratrie
Lorsqu’un enfant traverse la crise des 2 ans, il est crucial d’expliquer cette phase à ses frères et sœurs. Cela permet d’instaurer un environnement familial compréhensif et soutenant. Commencez par expliquer que le jeune frère ou la jeune sœur traverse une période nommée le « Terrible Two », une phase normale de son développement. Faites comprendre à l’ainé que le comportement de son cadet, comme des colères soudaines ou une forte opposition, est temporaire et non intentionnel. Soulignez que l’enfant de 2 ans est en train d’apprendre à gérer ses émotions et à affirmer son autonomie. Il peut être utile de partager des anecdotes de lorsque l’ainé était dans cette phase pour qu’il puisse se mettre à la place de son cadet.
Gérer les réactions de l’entourage face à la crise des 2 ans
Lorsque l’entourage est confronté à la crise des 2 ans, les réactions peuvent varier. Certains peuvent montrer de l’empathie et du soutien, tandis que d’autres peuvent juger ou donner des conseils non sollicités. Pour gérer ces situations, voici quelques suggestions.
- Clarifier la situation : Beaucoup de personnes ne comprennent pas ce qu’est la crise des 2 ans. Expliquer que c’est une phase normale de développement peut aider à apaiser les tensions.
- Créer des limites : Si certains commentaires ou comportements de l’entourage sont nuisibles, établir des limites peut être nécessaire.
Il est également crucial de se rappeler que cette période est temporaire. Avec le temps, l’entourage comprendra mieux ce que vit l’enfant et pourra apporter un soutien plus approprié.
Quand consulter un professionnel?
Identifier une crise des 2 ans « normale » d’un comportement préoccupant
Pour distinguer une crise des 2 ans « normale » d’un comportement préoccupant, plusieurs signaux peuvent être observés. Typiquement, une crise des 2 ans se caractérise par des manifestations d’opposition, des colères et des pleurs. Cependant, si ces comportements s’intensifient ou perdurent au-delà de l’âge de 4 ans, cela peut indiquer un problème nécessitant une attention particulière.
Il est également important de surveiller l’interaction de l’enfant avec son environnement. Des difficultés prolongées à se sociabiliser, une agressivité persistante envers d’autres enfants ou des changements drastiques et soudains dans le comportement peuvent être des signes préoccupants.
Règles de base pour identifier une crise « normale » :
- Comportement d’opposition fréquent mais pas constant
- Crises de colère qui restent gérables
- Manifestations d’autonomie, même si elles génèrent des conflits
Signes d’un comportement préoccupant :
- Opposition constante et intense
- Inaptitude à gérer les frustrations
- Manifestations d’agressivité envers les autres enfants
Ces indices ne sont pas exhaustifs, chaque enfant étant unique. En cas de doute, n’hésitez pas à consulter un professionnel de santé.
L’accompagnement professionnel lors de la crise des 2 ans
L’accompagnement professionnel peut être une aide précieuse pour les parents pendant la crise des 2 ans. Un conseiller ou un thérapeute spécialisé en développement de l’enfant peut fournir des conseils personnalisés et des stratégies concrètes pour gérer cette phase.
Les professionnelles de la petite enfance, comme les éducatrices en crèche ou les assistantes maternelles, peuvent également jouer un rôle clé dans l’accompagnement de l’enfant et de sa famille. Elles peuvent observer le comportement de l’enfant dans un contexte différent de la maison, donner un retour aux parents et proposer des stratégies adaptées.
Si vous remarquez que votre enfant a des comportements particulièrement difficiles à gérer, n’hésitez pas à consulter un pédiatre ou un psychologue pour enfants. Ces professionnels peuvent évaluer le comportement de votre enfant et déterminer s’il est dans la norme pour son âge ou s’il pourrait bénéficier d’une intervention plus ciblée.
Et si l’apprentissage devenait une aventure captivante pour vos enfants ? Avec Montessori Kit, c’est possible ! Nos kits éducatifs, inspirés par la méthode Montessori, transforment l’éducation en une expérience ludique et stimulante. Chaque kit est conçu pour favoriser l’autonomie, la créativité et l’exploration, tout en respectant les principes fondamentaux de la pédagogie Montessori.
Imaginez vos enfants découvrant les secrets des Animaux du monde, explorant les mystères de l’Égypte, apprenant les routines quotidiennes de manière amusante, voyageant dans l’Espace ou plongeant dans l’ère des Dinosaures, le tout depuis votre salon. Nos kits sont adaptés aux enfants de 2 à 7 ans, offrant une éducation enrichissante à chaque étape de leur développement.
Mais ce n’est pas tout ! De nouvelles thématiques sont en préparation pour encore plus d’aventures éducatives. Découvrez dès maintenant notre gamme complète sur Montessori Kit et offrez à vos enfants une éducation épanouissante qui les accompagnera tout au long de leur croissance. Rendez-vous sur www.montessori-kit.com
